Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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| Titre | Eine Kleine Nachtmusik. Für Orgel solo | |
| Compositeur | Mozart, Wolfgang Amadeus | |
| Opus | KV525 |
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| Année de composition | ||
| Éditeur(s) scientifique(s) | Heinrich E. Grimm | |
| Éditeur | Butz | |
| Numéro d'édition | 2556 | |
| Année de l'édition | 2013 | |
| ISMN | deest | |
| Site de l'éditeur | http://www.butz-verlag.de | |
| Nombre de pages | 32 (27) | |
| Date de réception au M'O | 13/05/2013 | |
| Commentaire | Le catalogue de transcriptions pour orgue de cet éditeur est déjà bien fourni: une des pages en fin de volume en donne une sélection de... 67 titres. Voici une version pour notre instrument d'une des plus populaires compositions du divin Mozart: sa sérénade pour cordes KV 525, la Petite musique de nuit. Choix judicieux, autant pour les qualités de la musique et sa célébrité, que pour son écriture originale, à cinq voix, qu'il a «suffi» de disposer pour les deux mains et deux pieds d'un organiste disposant d'un instrument à trois claviers de taille moyenne. Le transcripteur est Heinrich E. Grimm, Cantor du décanat de Landau et expert en orgues de l'évêché de Speyer. Nous lui devons déjà, chez le même éditeur, trois transcriptions: Pierre et le loup de Prokofiev P_0048, L'apprenti sorcier de Paul Dukas P_3497, et les Quatre Saisons de Vivaldi P_0128, dont les commentaires seront mis en ligne très prochainement. La transcription se lit sans difficulté, et doit donc se jouer tout aussi aisément, ce qui est bien le contraire des transcriptions que réalisa Mozart de certaines de ses propres compositions pour orgue mécanique! À part une barre de reprise manquant à la mesure 38b du deuxième mouvement, il n'y à rien à y redire. Sans doute une mise en page un peu plus large aurait-elle permis de disposer cette célèbre Romanze sans la moindre tourne difficile, et cela n'aurait diminué que d'une page les quatre dernières, consacrées aux catalogues de l'éditeur. Et la même attitude aurait été possible dans le Rondo final qui compte deux bonnes tournes et deux mauvaises. Les lecteurs du M'O savent que son rédacteur n'est guère Mozartien. Mais dans ce cas, il lui faut reconnaître que ces pages élégantes sont fort bienvenues pour celui que le compositeur qualifiait de «Reine des instruments»... | |
| Date du commentaire | 13/11/2013 | |
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