Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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| Titre | Sieben aufgezeichnete Improvisationen | |
| Compositeur | Dupré, Marcel | |
| Opus |
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| Année de composition | ||
| Éditeur(s) scientifique(s) | Hans Steinhaus, Felix Gubser und Alex Hug | |
| Éditeur | Butz | |
| Numéro d'édition | 1897 | |
| Année de l'édition | 2005 | |
| ISMN | deest | |
| Site de l'éditeur | http://www.butz-verlag.de | |
| Nombre de pages | 48 dont 43 de musique | |
| Date de réception au M'O | 30/03/2006 | |
| Commentaire | La réputation d'improvisateur de Marcel Dupré n'est plus à faire, même si nous avons regretté quelques fois dans les colonnes du Magazine de l'Orgue que l'enthousiasme de ses supporters les ait poussé parfois à publier des enregistrements datant de la fin de sa carrière, alors qu'il n'était plus au mieux de sa forme. Il s'agit ici, sur le même thème de l'improvisation, de tout autre chose: ces sept improvisations datent du 7 mai 1930, du 4 octobre 1935 et du 5 février 1938 (étrangement, elles sont publiés dans le sens inverse de la chronologie). En outre, on peut les qualifier de «domestiques», par opposition aux pièces à effet improvisées en concert, qui visent souvent à des effets et utilisent facilement quelques «ficelles» du métier. Les trois séances eurent lieu sur l'orgue de salon d'un ami suisse de l'interprète, Paul Hoehn, à qui les notations des sept pièces sont dédiées. L'orgue de salon de ce dernier, construit par Kuhn comptait deux claviers et quinze jeux (plus trois transmissions à la pédale). Sa composition est judicieusement donnée à la suite du commentaire introductif (D, F, GB) qui nous indique également que l'instrument se trouve depuis novembre 1986 en l'église Saint-Josef d'Eggerstanden, dans le canton d'Appenzell. Le processus de la transmission de ces pièces ne m'apparaît pas bien clairement: «Sur cet orgue furent mises au point les improvisations dédiées à Paul Hoehn et ensuite enregistrées sur disque. Plus tard, elles ont été reconstituées par Emil Bächthold et Ernst Hess à l'oreille et montrées à Dupré pour d'éventuelles corrections. Sur ces exemplaires se trouvent également les dédicaces autographes de Dupré à Paul Hoehn.» Somme toute, peu importe quel a été le mode d'«enregistrement sur disque», nous voici en présence d'un intéressant témoignage de l'art de l'improvisation de Dupré, alors dans la force de l'âge, entre 44 et 52 ans. | |
| Date du commentaire | deest | |
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