Détail d'un disque de la discothèque du M'O+
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CD_4200 ( |
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| Titre du CD | Bara Faustus' Dreame | |
| Interprète(s) | Freddy Eichelberger (FR) | |
| Éditeur | Alpha |
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| Numéro d'édition | 063 | |
| Site de l'éditeur | http://www.alpha-prod.com | |
| Format audio | DDD | |
| Date d'enregistrement | IV 2003 | |
| Minutage total | 66:33 | |
| Date de réception au M'O | 20/11/2004 | |
| Livret | 48 pages + 6 pages de Digipack (F, GB); pas de photo de l'instrument, pas de composition, pas de registrations | |
| Orgue(s) et/ou instrument(s) | Claviorganum Émile Jobin & Quentin Blumenröder 2000 | |
| Compositeur(s) | Peter Philips, William Byrd | |
| Descriptif orgue(s) | Claviorganum Jobin & Bloemenroeder (FR) 2000 | |
| Accord orgue(s) | Non estimé dans l'échelle de La Rasette  | |
| Programme | Plages pour claviorganum 5. Philips Pavan: Dolorosa 6. Philips Galiarda Dolorosa 10. Byrd Ground [MB XXVII/42] [= MLN 30. The Second Growdne] [Tregian's Ground] | |
| Commentaire | Comme le précédent CD de cet éditeur, Ay Luna (voyez CD_3473),
voici tout le contraire de ce malheureux CD Merulo (CD_3458).
Pour éviter l'ennui qui naît de l'uniformité, il suffit de suivre la recette que les producteurs d'Alpha ont parfaitement comprise: sur un thème précis, on peut varier les formes instrumentales - en l'occurrence, également vocales - et, au fil de rencontres que les compositeurs, empruntant, arrangeant, transformant, ont eux-mêmes organisées, ont créé aisément la diversité dans l'unité, et vice versa Vous reconnaîtrez ici bien des pièces qui vous aviez déjà entendues au virginal ou à l'orgue, merveilleusement chantée par quelques belles voix, accompagnées par des continuistes souples et expressifs. Je ne sais plus combien de fois j'ai écouté cette belle heure de musique, avec le plus grand plaisir, même sans un véritable orgue... Une seule petite réserve, mais le couple Pavane et Gaillarde Dolorosa de Peter Philips étant une de mes œuvres préférées de ce répertoire, elle fait passer le coup du coœur au chapeau. Sans mettre en doute le moins du monde le talent des interprètes, je trouve que la sobriété et la plénitude sonore d'un beau virginal rend tellement mieux les audaces de cette pièce que cet ensemble instrumental, au demeurant fort beau. Allez comprendre! [M'O 84/25] | |
| Date du commentaire | 19/03/2014 | |
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