Détail d'un disque de la discothèque du M'O+
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| Titre du CD | William Byrd | |
| Interprète(s) | Gustav Leonhardt (NL) | |
| Éditeur | Alpha |
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| Numéro d'édition | 073 | |
| Site de l'éditeur | http://www.alpha-prod.com | |
| Format audio | [DDD] | |
| Date d'enregistrement | XI 2004 | |
| Minutage total | 52:12 | |
| Date de réception au M'O | 15/05/2005 | |
| Livret | 36 pages + 6 pages de Digipack (F, GB); pas de photo de l'instrument, pas de composition, pas de registrations | |
| Orgue(s) et/ou instrument(s) | Clavecin Malcolm Rose d'après Theewes 1579 | |
| Compositeur(s) | William Byrd | |
| Descriptif orgue(s) | Clavecin Malcolm Rose d'après Theewes 1579 | |
| Accord orgue(s) | Ceci n'est point de l'orgue… et n'est donc pas appréciable dans l'échelle de La Rasette  | |
| Programme | William Byrd 1. Pavan [MB 16a] 2. Galliard [16b] 3. [Clarifica me, Pater] [49] 4. Qui passe: for my Lady Nevell [19] 5. Alman [89] 6. Pavan (14a] 7. Galliard (14b] 8. La Volta [91] 9. Pavan (23a] 10. Galliard [23b] 11. Ut Re Mi Fa Sol La [64] 12. Ground [43] 13. Rowland or Lord Willoughby's Welcome Home [7] 14. Fantasia [13] | |
| Commentaire | S'agissait-il de démontrer que peu importe l'instrument, du moment que la musique est exceptionnelle, autant que l'interprète, évidemment? Sous le titre «claviorganum» (le même interprète jouait d'un véritable claviorgnum dans le CD Alpha 042, coup de cœur du M'O 77/29), la notice décrit le clavecin que l'on entend ici seul. Cependant, à aucun moment ne manque le timbre pourtant extraordinaire de l'orgue sous le clavecin, dont les sonorités, limitées à un jeu de huit et un de quatre pieds, semblent d'une variété incroyable. Tout est ici parfait, et l'on se sent un peu ridicule d'avoir à énumérer les qualités d'un aussi grand interprète que Leonhardt. Parler de vie, de maîtrise, de toucher, d'agogique, de subtilités, d'éloquence, de vivacité, d'expression, de couleurs, d'ornementation, de phrasés, de conduite, est-il vraiment utile, quand tout cela est si... simplement naturel? Ce récital Byrd est une évidence absolue. [M'O 86/12] | |
| Date du commentaire | 01/01/1970 | |
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